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Vous avez dit que 24h c'est long...
Nous survolons les îles de la côte ouest : Paysage magnifique.
Notre comité organisateur (Patrick, Arlette, Jean-Claude, Thérèse, Bernard, Régine) nous accueille avec les honneurs perlés (Colliers de coquillages) dus à notre renommée de cyclotouristes avertis.
Tous les bagages ne sont pas à l'arrivée. Il en manque pour Marie Louise et Jojo. Nos accompagnateurs nous amènent à NOUMEA, que nous visitons. Pendant la visite du marché de NOUMEA, un groupe folklorique exécute des danses locales.
Pour les repas de midi et du soir, Thérèse et Jean-Claude nous reçoivent comme des princes. En particulier les " crevettes " locales sont délicieuses.
L'après midi est réservée au montage des vélos.
La matinée est consacrée aux derniers préparatifs : docteur pour Christian, vélociste pour Claude, banques pour d'autres. Puis, nous visitons à pied le centre ville de NOUMEA.
Quatre mousquetaires et demi font le transfert en vélo : Jean Paul, Guy et Michel, Claudine, puis Claude avec son beau vélo.
Pendant ce temps, Jean-Claude dirige les déplacements et récupère les bagages de Marie Louise et Jojo.
Nous prenons le repas, tout préparé, devant l'aéroport de TONTOUTA.
Nous arrivons, voitures et vélos, aux paillotes de BOULOUPARI : très joli site et cases confortables.
Nous commençons les apéritifs traditionnels de l'ABEILLE, dans la douce chaleur de la soirée tropicale.
Nous commençons par un copieux petit-déjeuner suivi de la photographie de groupe sur le départ. Cette photographie, prise par un reporter professionnel, sera dans le journal local et permettra à tous les badauds de l'île de reconnaître les " vieux " seniors avec des maillots jaunes, qui en font le tour à vélo.
Au départ, nous passons devant l'hippodrome de BOULOUPARI, puis à LA FOA et FARINO, où nous commençons à acheter des en cas locaux.
Plus loin, Jojo est déchaîné et voilé : pas top pour un méticuleux.
Les cyclotouristes du nominal visitent le Fort TEREMBA, pendant que d'autres " diverticulent " pour monter le col de BOGHEN, par un chemin en terre, dans une forêt d'Eucalyptus, avec des Pitbulls peu accueillants.
Nous prenons notre repas, préparé une fois encore, au cimetière néo-zélandais, endroit sympathique.
Nous traversons BOURAIL où la pluie menace, mais le vent est toujours arrière.
Un autre diverticule est improvisé pour aller vers NESSADIOU, où nous découvrons un vrai Vélodrome en pleine campagne, au milieu de la brousse de nulle part.
Nous passons tous éparpillés à BOURAIL, puis la pluie tombe vers GOUARO, sur le chemin en terre en réfection : les vélos seront sales.
Divers groupes visitent LA PIERRE PERCEE et Jojo se cogne dans le passage.
Pour notre camping à POE, nous avons un triste temps gris, et nous prenons notre repas, très épicé, avant d'aller pisser.
La nuit sera folle et agitée, allongés dans les cabanes du camping, sur le béton directement.
Jean-Claude amène Jojo à NOUMEA pour s'occuper de remettre son vélo en état de marche.
Les trajets en Navette s'instaurent pour ceux qui veulent ménager la monture, car le parcours s'avère difficile, dès la partie qui est réputée facile.
Nous retournons sur la route en terre, où nous apercevons des poneys et croisons des Japonais déjà nés il y a longtemps (respirez un bon coup). Patrick et Claudine, qui font le Col des ROUSSETTES en supplément redoublent d'ardeur et les Japonais du même coup, qui font le trajet en bus.
Nous effectuons des courses à BOURAIL où nous trouvons un pharmacien.
S'ensuivent des tas de cols qui s'enchaînent jusqu'à POYA. Et nous déjeunons à BASSE POYA, aux pieds d'une mine de nickel. Le repas est aussi nickel.
La suite est plate, avec vent dans le dos, et Claudine qui roule devant. L'arrivée sur POUEMBOUT est ainsi très rapide, et nous arrivons juste à temps pour savourer un apéritif mérité, pendant que d'autres reçoivent une belle giboulée.
Après la magnifique piste cyclable qui nous conduit jusqu'à KONE, ça déconne, et nous quittons le monde civilisé pour partir à l'aventure.
Pendant la traversée de la mangrove d'OUNDJO, nous faisons la connaissance de Denise au long couteau et des habitants qui se laissent photographier. Le moral était bas comme les nuages, et arrivés à VOH, le cœur n'y était pas (nous avons su plus tard qu'il se trouvait ailleurs, et qu'il eut fallu que nos vélos volassent pour le voir). Ne nous laissant pas abattre, nous nous arrêtons à l'épicerie. A défaut de cœur, nous avons demandé du foie de veau, mais il n'y en avait pas non plus.
Peu après, Jean-Claude nous somme de faire demi-tour, et va chercher Jean-Paul qui a filé tout seul et qui est ramené manu militari chez Mado, qui nous reçoit fort bien et où nous prenons un apéritif copieux, exotique et délicieux.
Nous prenons notre déjeuner à OUACO sur la jetée au bord de la mer, dans l'air marin vivifiant, près du camp minier.
La fin de l'étape pour arriver à KOUMAC est enlevée " coumaquo " à 40 à l'heure de moyenne par Claudine toujours en tête.
Le Bougnat, repas typique cuit à l'étouffé dans des feuilles de bannes, nous régale.
Le diverticule du col de KOUMAC est l'objet d'appréciations différentes : Patrick est incrédule sur le passage du col. La suite de la route est un Toboggan, avec des paysages changeants et superbes.
Un regroupement général à lieu au pied du col d'ARAMA, qui sera un autre diverticule, et qui vaut le détour, malgré la pente et la chaleur, puisque de là haut, nous voyons l'océan des deux côtés.
Nous déjeunons à POUM, qui est un des bouts de l'île. Le groupe s'organise pour récupérer un bidon sur un vélo plié et rouillé de la plage, et le poser sur celui de Jojo.
Première baignade pour les plus courageux.
Au retour nous prenons la route de NAHARIAN, où il n'y a rien, et même moins que ça.
Nous trouvons enfin la terre promise : La piste finale en terre et pierres vers POINGAM est difficile avec des côtes sévères.
Le repas du soir est long et convivial, dans la douce chaleur de la nuit, avec le bruit des vagues.
Nous passons la nuit dans la moustiquaire pour faire bonne dose de dépaysement.
Le retour sur la piste de la veille, qui nous conduit vers NARAAC, n'est effectué que par 6 courageux.
Ensuite la route est goudronnée mais collineuse, pour ne pas dire difficile jusqu'à ARAMA, et la chaleur monte de plus en plus sur le parcours. La mangrove de palétuviers borde notre route du bord de mer, qui devient de moins en moins carrossable. Heureusement que nos voitures suiveuses sont là pour nous ravitailler en eau.
Nous sommes ensuite lancés sur une piste en terre rouge, avec des montées et descentes pas possibles, une chaleur à crever.
Après une chute d'Arlette, sans conséquence, nous repartons sur cette piste qui semble ne pas finir. Nous faisons une halte à un abri bus au milieu de nulle part, entourés d'herbes sèches, pendant que les navettes s'organisent.
Enfin le bout de la piste, et le repas bien mérité à OUEGOA, le long de la rivière, toujours préparé par nos accompagnatrices.
Très peu de cyclistes monteront le mythique col d'AMOSS, qui comporte des pourcentages irréguliers.
La descente est belle et aussi pentue que la montée. Nous apprendrons à l'arrivée que René a chuté dans le début de la descente. S'étant cassé ou fêlé des côtes, il doit arrêter le vélo pour la fin du séjour.
Nous campons sous les cocotiers et, nourris de feuilles comme les lapins, dormons comme des marmottes, sauf Jean Claude qui ne dort pas de la nuit, car la zone est potentiellement à risque.
On ne rigole plus dans les rangs, et on roule tous en groupe, escortés par Jean Claude.
Nous nous arrêtons à l'église de POUEBO avec un arbre flamboyant superbe pour y arriver.
A partir de YAMBE, nous retrouvons à nouveau de la piste, et nous découvrons une flore luxuriante, au pieds de montagnes qui surplombent la mer. Nous découvrons des cascades, des ponts sans rampes qui sont en fait la majorité, et qui enjambent les torrents qui se jettent dans la mer.
Nous déjeunons à un point de vue magnifique, sous une tonnelle qui n'est pas superflue.
L'après midi, la piste est longue pour beaucoup, car la fin du parcours comporte des côtes.A WAYEM, nous admirons en altitude le banc de sable qui retient une lagune d'eau douce de la rivière OUAIEME, et nous passons ensuite le dernier bac à voiture de l'île.
Plus loin, à HIENGHENE on admire la poule couveuse qui fait partie de la chaîne de rochers noirs de LINDERALIQUE, dont la ressemblance avec la baie d'ALONG est étonnante.
Au village de HIENGHENE, fortement sonorisé, nous nous dispersons pour voir le coup d'œil panoramique ou bien pour boire un coup pas trop rapide.
Puis nous arrivons au vrai faux Club Med.
Boules, baignade, vélo, mini golf, farniente, cartes postales, Internet, etc. au programme.
Certains retournent en arrière pour voir les rochers noirs se détacher de la jungle environnante.
Étape facile, mais tout de même avec quelques côtes. Jean-Claude, toujours inquiet, nous surveille.
Nous achetons des bananes en mettant l'obole dans des coupelles des cabanes sur le bord de la route.
Repas toujours sympathique sous une paillote au bord de l'eau.
Des fleurs à profusion, dans des arbustes immenses, multicolores et exotiques s'offrent à nos regards ébahis.
L'océan est toujours à notre gauche, les collines, les torrents et cascades à notre droite.
La baignade du soir sera au choix dans les marmites d'un torrent d'eau chaude ou bien dans la mer sur une plage de sable amenée par les Américains lors de la dernière guerre.
Pendant que la majorité se baignent le matin, avec l'embarras du choix énoncé ci-dessus, et prennent le vélo pour quelques kilomètres l'après midi, quelques courageux s'enfoncent dans l'intérieur de l'île, et dans la chaleur sèche.
Après une première série de côtes, nous franchissons un col chaud, long et pentu, puis bien d'autres aussi chauds, aussi pentus, mais moins longs.
A l'arrivée au belvédère du col TANGO, Marie Louise nous attend pour déjeuner. De là, nous avons la vue sur l'autre versant.
Le retour vers la mer est encore plus chaud et les côtes sont aussi raides qu'à l'aller.
Nous faisons une partie de manivelles sur la fin du trajet.
Sur un quiproquo, Patrick croit que Claudine et Christian se sont perdus et Jean Claude, tel un ange gardien, vient à notre rencontre.
Nous re campons sous les cocotiers.
Nous remarquons que toutes les tombes sont bien entretenues et fleuries avec les fleurs exotiques multicolores.
Nous franchissons néanmoins deux petits cols sur la partie plate.
Claudine et Christian perdent et retrouvent un tendeur, puis une clé, puis rattrapent le groupe, ce qui n'est pas du goût de Jean-Claude qui nous surveille.
René copine avec Didier le dealer local, lequel, relativement éméché, engage la conversation avec Catherine.
Le déjeuner est improvisé sur un banc de bambou de conception René.
La digestion commence, pour les sept courageux, par la montée du col de MERE, qui traverse les carrières de Nickel à ciel ouvert de PORO : la route monte au soleil, dans la terre rouge. La belle mine rouge est en grève, et surplombe la mer bleue et la végétation verte : le contraste est saisissant.
De là haut, nous avons une vue magnifique au loin sur des petites vallées intérieures, avec une végétation encore plus bizarre que d'habitude.
La descente est superbe parmi des arbres exotiques. Nous traversons des ponts en bois et effectuons quelques tours de piste, dont nous avons maintenant l'habitude.
La montée du deuxième col s'avère plus facile que prévu, et la descente aussi.
Repartie de manivelles pour arriver sur KOUAOUA, la ville des chiens (oua oua).
Le repas est délicieux. Nous avons la cantine de la triste mine en grève pour nous seuls.
Faux départ pour voir le toboggan qui arrive de la montagne et se termine à la mer. Celui-ci ne fonctionne pas, car les mineurs majeurs sont en grève. Plus loin, nous apercevons la totalité du toboggan qui descend de la montagne à cheval (air connu) sur une colline.
Nous montons le col de KHO et 2 autres qui suivent : la routine.
Avec Jean-Paul, nous faisons l'aller et le retour vers le Col VERT, où nous entendons le chant d'oiseaux de toutes races, mais pas de canards.
Nous roulons ensuite pour rattraper le groupe jusqu'à CANALA où ça rigole pas et où Jean Claude nous attend.
Nous évitons NAKETY et son église où des rumeurs des milieux bien informés nous indiquent un risque potentiel probable de soulèvement contre la race cycliste.
Nous nous regroupons au pied du col de PETCHECARA, pour la distribution de musettes dans le stress. La montée du col est à circulation alternée, et il nous faut rouler à vive allure pour éviter les automobiles venant en sens inverse, que nous rencontrerons néanmoins.
Dans la descente étroite, pentue et poussiéreuse, Claude tombe sans gravité, mais tout de même sous l'action de celle-ci (relaxez-vous).
L'arrivée à THIO est rondement menée.
Baignade dans la mer et le sable gris.
Nuit sous la tente ou en bungalow, toujours réveillés au petit matin par le chant des oiseaux.
Le matin, nous flânons sur la plage de THIO centre.
Thérèse et Jean-Claude nous proposent des noix de coco fraîches, qui sont un régal.
La vallée, qui est sensée suivre un cours d'eau, est collineuse comme d'habitude.
Nous voyons, sentons de très près les feux de broussaille déclenchés par les locaux.
Le col de NASSIRAH est finalement bien pentu.
L'air qui était humide et bruineux en montant, change brutalement : La chaleur est étouffante sur la côte ouest, que nous retrouvons.
Après un arrêt à l'épicerie de BOULOUPARI, nous retrouvons les paillotes vers 13h, au terme de cette courte étape.
L'après midi se passe autour de la piscine avec le petit-fils de Thérèse et Jean-Claude qui fait leur fierté.
Nous improvisons également une presque traditionnelle partie de boules.
Le repas est une fondue chinoise typique.
Nous démarrons sur la RN1 avec ses voitures en direction de la capitale.
Arrivés à l'aéroport, nous nous arrêtons à l'un des points de contrôle des cyclistes de l'île à l'occasion d'un rallye vélo Cancer. Après la pause, nous croisons un peloton avec le tandem de Bernard et Régine qui nous crient : " à ce soir ".
Jean-Paul a dit : " faite moi confiance " et a embarqué tout le monde vers la route du bord de mer qui, bien que plus longue, évitait un col.
Le peloton était groupé et confiant, sur une belle portion de route plate, jusqu'à la baignade.
A partir de là, ce fut chacun pour soi : la chaleur, le vent de face et les côtes raides à répétition, dont le dénivelé était largement supérieur à celui du col évité, ont eu raison du peloton.
La navette est entrée en action.
Le déjeuner s'est étalé sur le début de l'après midi.
La montée du mont KOGHI, avec néanmoins de forts pourcentages au milieu, a été agréable au milieu des arbres. Au sommet, la vue est superbe et grandiose sur la baie de NOUMEA.
Pour le couchage du soir, on nous a fait marcher (si si)... dans la forêt pour voir les cabanes. En fait une seule est arboricole et originale, et Arlette et Patrick y dormiront dedans, puis descendront de la montagne (air reconnu) au petit matin.
Le soir nous fêtons l'anniversaire de Jojo (oui), puis mangeons une fondue type savoyard (oui oui).
De moins en moins d'Abeilles prennent le départ en vélo, groupés et à petite allure, nous traversons NOUMEA sur le bord, ce qui ne nous empêche pas de prendre la photo. Nous faisons la corniche du MONT DORE, qui est un des quartiers chics de NOUMEA. Nous enchaînons les cols sous la chaleur, le vent de face et les fortes rampes (c'est original).
Le Pique nique est organisé au bord du lac de YATE. Il a été mis à l'eau voilà plus de 50 ans, et les troncs des arbres inondés alors sont toujours là et donnent un aspect irréel au paysage.
Comme c'est le papa de Claudine qui a assuré la maîtrise d'ouvrage du barrage de YATE, nous prenons la piste en pavé (on l'a trouvée) pour aller le voir et le photographier.
Faut-il dire que la montée du col de YATE est raide ? Une fois en haut, voulant prendre la photo, l'appareil n'est plus là, et il faut redescendre, reprendre la piste, pour espérer le retrouver. La foi aidant, nous le retrouvons sur les fameux pavés, et en état de marche. Il ne reste plus qu'à remonter le col de YATE.
Le paysage dans la descente est grandiose et panoramique, avec la mer au loin.
Avant l'arrivée, nous croisons trois jeunes sur un seul vélo, qui nous souhaitent la bienvenue.
Nous devons notre repas, comme souvent, à l'efficacité de Thérèse qui bouscule cuisinière et serveuses.
Le matin, nous longeons la mer par une petite route magnifique, et prenons des photos en souvenir.
Brusquement, la route s'élève et s'enfonce vers l'intérieur des terres.
Nous traversons un paysage désolé, mais superbe, sans rencontrer beaucoup d'ombre.
Nous traversons une mine à ciel ouvert en pleine activité. Nous avons droit à un va et vient incessant de gros camions. Nous nous faisons tout petit sur le bord de la piste.
Après ce passage, nous recevons une pluie chaude, qui remplit d'eau les torrents et les passages de gué.
La route est passablement défoncée suite au passage de ces énormes camions.
Il s'ensuit de nombreux cols que nous franchissons. Jean-Claude nous rejoint à ce moment, et nous déjeunons au sommet de l'un d'eux. Au col de PLUM, qui clôture la série des cols durs, coule en abondance de l'eau, qui est l'eau minérale mise ne bouteille pour la consommation de l'île.
Il ne reste plus qu'à rentrer gentiment sur NOUMEA en passant par les Portes de l'enfer.
Puis à remballer le vélo.
Trajet en avion ATR 42.
Plage de sable plus blanc que blanc. Mer plus turquoise que bleu, avec toutes les nuances de mer et de bleu. Poissons multicolores.
Trajet en bus, puis en pirogue, puis à pied à travers la jungle. Lagon appelé " piscine " : Poissons multicolores.
Retour en avion avec vue sur les îlots et la barrière de corail.
Traversée en bateau et musiciens. Accueil dans le style des îles du pacifique. Repas à volonté. Montée au phare : vue extraordinaire, et vent.
La légende des tricots rayés se démystifie.
Retour avec de la houle et toujours les musiciens.
Repas chic le soir, avec crabe au menu et bien d'autres choses.
Patrick, Arlette, Jean-Claude et Thérèse nous accompagnent une fois de plus.
Nous les remercions du fond du cœur pour avoir rendu possible dans de bonnes conditions ce merveilleux voyage.
Nous repartons en emportant avec nous ces merveilleux souvenirs.
Christian Auzet
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