Examinons les questions habituelles, qui sont: (1) les principes du tirage photo numérique; (2) le poids des photos; (3) leurs dimensions; (4) leurs dimensions à l'écran; (5) leurs dimensions à l'impression depuis un navigateur web; (6) leurs dimensions à l'impression à partir du fichier de l'image; (7) leurs dimensions au tirage par un professionnel; (8) l'optimisation des photos pour tirage; (9) que contient un album photos web; (10) une feuille de style "Abeille" à dupliquer pour réaliser des fonds de pages; (11) hébergement des sites photos; (12) utilisation du répertoire public d'un lecteur réseau (un iDisk) "abeille_cyclo", accessible par internet (bureau de l'ordinateur, navigateur web ou client FTP), pour déposer et récupérer des fichiers originaux de photos ou autres fichiers lourds (sons, films); et (13) quelques exemples d'albums.
Le mieux pour entrer dans cette jungle est de visiter ce mode d'emploi.
On y trouve aussi un tableau de comparaison de prestataires de tirages photos. Ces prestataires, eux-mêmes, donnent des conseils utiles. Il est clair, en effet, qu'une photo qu'on veut conserver dans un album ne sera de qualité que si elle est tirée par un professionnel. Les imprimantes personnelles impriment des horreurs, même sur papier spécial photos.
La spécification du site donne des indications sur les poids (en ko) acceptables pour que le visiteur ne se lasse pas. On a appelé "rapides" les pages de poids total (images comprises) inférieur à 40 ko et "lentes" celles qui pèsent, tout mouillé, plus de 120 ko. On peut dire la même chose d'une photo isolée. A titre indicatif, et toujours sur le site Abeille, les photos de Crète pèsent de 25 à 130 Ko chacune, en fonction de leur taille et de l'importance du ciel bleu, tandis que les photos de la vélomarchette 2003 pèsent de 30 à 110 Ko chacune.
Par contre, une photo pour tirage papier par un professionnel doit toujours être le fichier d'origine sans dégradation. Elle pèsera donc couramment, pour un tirage du type 20 x 27 cm dans les 200 à 300 Ko. On trouve à titre indicatif, toujours sur l'album des photos de Crète, un exemple de méthode de téléchargement de fichiers sources en vue de leur tirage par un professionnel (cliquer dans "Fichier pour tirage").
Une photo créée avec un appareil photo classique (24x36 mm) a des dimensions au rapport 2/3 (ex 150 x 100 mm). Une photo créée avec un appareil numérique a par contre des proportions au rapport 3/4.
Il faut respecter ces proportions, car des formats papier n'existent qu'au 2/3 et au 3/4.
On a l'habitude de mesurer les dimensions des photos tirées sur papier en centimètres (15 X 10 cm, par exemple).
Photo numérique. Une photo numérique se mesure en pixels ET en cm, et le nombre de pixels par pouce (2,54 cm) s'appelle la densité ou résolution, exprimée en ppi ou dpi (pixels per inch ou dots per inch). A titre indicatif, la photo qui apparait à la page "Album" du site Abeille, une photo de Patrick non modifiée, mesure: 550 x 354 pixels, avec une très haute résolution de 1600,0 x 1600,0 ppi (1600 pixels par 2,54 cm), ce qui lui donne une dimension "papier" de 0,87 x 0,56 cm (faisons le calcul: (550 / 1600) x 2,54 = 0,87). Elle pèse 28 ko. Cette photo servira d'exemple pour ce qui suit.
Quelles que soient leurs dimensions en cm, les écrans ne connaissent que les pixels. Ils ignorent les cm. Les anciens écrans d'ordinateurs affichaient 640 pixels dans leur largeur ce qui était déjà beaucoup plus que les écrans de télévision, certains écrans plus récents affichaient 800 pixels dans leur largeur. La majorité des écrans usuels actuels affichent 1024 pixels en largeur quelle que soient leurs dimensions en cm. Un écran de 1024 pixels peut d'ailleurs être configuré pour affichier 1024, 800 ou 640 pixels dans sa grande largeur.
L'affichage d'une image sur écran (avec un navigateur web ou une visionneuse de photos sans zoom) dépend toujours, exclusivement, de sa dimension en pixels. Ainsi, sur un écran de 1024 px, une image de 600 px prend en largeur environ la moitié de l'écran (ne pas oublier que les fenêtres aussi prennent de la place), sauf si on utilise un zoom, par exemple pour afficher "plein écran". Ainsi, notre image de 0,87 cm du site Abeille, qui mesure 550 px de large, prend sans zoom à peu près la moitié d'un écran 1024 px et près de 90% d'un écran 640 px. Sur le code html de la page web en question, les dimensions de cette image figurent en dur (550 x 354) et ce sont ces dimensions que l'écran respecte. Sur un petit écran 1024 px de 12" diagonale, cette image mesure 13 cm à l'écran.
Un navigateur web peu évolué tentera d'imprimer ce qui correspond à la largeur en px de l'écran. Avec un tel navigateur, l'impression de la page sur un papier A4 (21 x 29,7 cm), en résolution 1024 px, donnera à l'image la largeur proportionnée à celle vue à l'écran. Un écran de 12" mesure 24,5 cm de largeur utile, tandis que l'imprimante imprime sur une largeur utile de 18 cm sur la page A4. Notre image s'imprime donc en 9,7 cm au lieu de 13 cm à l'écran.
C'est pour cela qu'on déconseille de donner aux images une largeur supérieure à 600 px (juste un peu moins que 640 px, pour tenir compte de la largeur des fenêtres).
Un bon navigateur web donnera le choix (640 px, 800 px, 1024 px, ajuster à la largeur de page), mais bien peu d'internautes ont un tel navigateur sur leur ordinateur.
L'impression en utilisant une visionneuse se ferait plutôt pleine page (18 cm), car la visionneuse aurait envie, logiquement, de toujours imprimer "pleine page". C'est le cas de Pictureviewer (de la suite Quicktime). Une visionneuse réglable à l'impression devrait pouvoir donner le choix du facteur de zoom à l'impression. Mais dans quel but ?
L'impression en utilisant un logiciel de traitement d'images (Graphic Converter, sans doute Photoshop) se fait aux dimensions (réelles) de l'image, mesurées en cm. Ainsi, notre image du site Abeille, qui mesure 0,87 cm, s'imprime en largeur 0,87 cm, c'est à dire minuscule.
En réalité, une photo ne s'imprime pas à la maison: c'est du gâchis d'argent et c'est toujours décevant. On la met sur son album familial après avoir fait réaliser le tirage sur du papier photo par un professionnel pour un prix d'environ 30c par tirage sur du 10 x 13 cm. Les formats numériques sont souvent: 10x13 cm, 13x17, 15x20, 20x27, alors que les formats conventionnels sont: 10x15 cm, 13x19, 15x21 et 20x30.
Un professionnel du tirage réalise les agrandissements ou réductions qu'on veut, mais il faut que le rapport de dimensions soit de 2x3 (conventionnel) ou de 3x4 (numérique). Sinon, il faut recadrer.
Pour ce faire, il nous faut lui transmettre par téléchargement les fichiers correspondants, le plus souvent au format jpeg pas trop compressé. C'est pour cela qu'il est souhaitable qu'un album de photos puisse offrir en téléchargement des photos suffisament lourdes pour supporter un tirage papier par un professionnel. C'est ce que propose l'album des photos de Crète.
Optimisation photos. On voit sur cette page réalisée par un photographe professionnel que des photos prises, par exemple, avec un capteur 3 Mpixels (plus de 2000 px dans le grand coté) sont compatibles avec un agrandissement 20x30 cm. Leur poids au téléchargement en jpeg est de 200 à 400 ko avec une compression modérée, et plus de 1 Mo si on choisit la résolution jpeg maxi en récupérant les photos pour la première fois depuis l'appareil photos. Ainsi, toujours à titre d'exemple, les fichiers des photos de Patrick Letailleur téléchargeables depuis l' album de Crète pèsent chacun de 150 à 370 Ko.
Sur ces bases, un album de photos comprendra donc toujours:
Les photos en résolution 72 x 72 ppi, en pleine page écran ou imprimante, accessibles en chaîne l'une après l'autre ou sur des pages en regroupant jamais plus de 2 à 4. Un exemple simple de pages à tourner se trouve sur l'album de photos de la vélomarchette 2003 (en fait une seule page de vignettes).
En complément utile, comme sur l'album de la vélo-marchette 2003, une série de vignettes pour "tourner rapidement les pages". Ces vignettes sont minuscules pour être entassées, par exemple à neuf par page (pas trop quand-même) et sont donc d'une lisibilité moyenne. Le site Cyclo Cyclotes donne, dans son album de photos du tour de France du centenaire, un exemple d'album de vignettes de dimensions plutôt importantes, environnées de texte explicatif. On accède aux photos elles-mêmes par un lien qui part de la vignette.
On peut y ajouter un diaporama, comme sur l'album des photos de Crète, qui fera défiler les photos en boucle avec une temporisation déterminée en dur (par exemple 7 secondes). Pour ce faire, il suffit simplement de dupliquer toutes les pages html qui portent les photos à faire défiler, les renommer en séquence simple du type"diaporama00.html", "diaporama01.html", etc. et en les laissant dans le même dossier que les pages copiées (pour que les liens partant de ces pages ne soient pas affectés). Ensuite, il suffit de créer dans l'en-tête de chacune des pages une insturuction <META> qui dit:: "Je regarde cette page pendant 7 secondes en fumant ma clope, puis je passe à la page suivante dont j'ai indiqué l'adresse dans le lien indiqué dans la balise <meta>". La syntaxe est, en supposant une temporisation de 7 secondes et qu'on pointe vers la page "diaporama01.html" du même dossier: <meta http-equiv="Refresh" content="7; url=diaporama01.html">. On quitte le diaporama en cliquant dans n'importe quel lien, qui nous renvoie vers une partie non animée du site en question.
On peut aussi y ajouter les fichiers des photos en questions, comme sur l'album des photos de Crète. Ces fichiers source seront au moins 2 à 4 fois plus lourds que ceux des pleines pages, pour téléchargement en vue de tirage papier par un professionnel. Aucun site cyclo ne semble actuellement proposer ces téléchargements.
Ce ne serait pas une bonne idée de mettre comme photos affichables pleine page des photos de résolution moyenne acceptable (300 x 300 ppi) car cela ralentirait leur temps de téléchargement sans aucun profit en cas de simple consultation à l'écran.
La feuille de style utilisable est accrochée, zippée (4 ko), à cette page. Elle est utilisable toute seule sans la feuille de styles du site Abeille, et peut se mettre sur n'importe quel site web.
Alternativement, le lien vers la feuille de style du site Abeille (c'est la méthode recommandée) se fait en insérant dans l'en-tête de la page concernée le lien <link rel="stylesheet" type="text/css" href= "http://abeille-cyclotourisme.chez.tiscali.fr/styles.css">.
Le mieux, pour les finances du club, serait que les Abeilles qui le peuvent hébergent elles-mêmes leurs albums photos sur un site perso. Ces albums photos sont en effet rapidement consommateurs de place sur disque. Pour ce faire, ne pas hésiter à appeler Jean-Pierre ou Jean. La feuille de style "Abeille" qui va bien est disponible par téléchargement.
Sans tenter de copier la suite inimitable des logiciels "photos" d'Apple (Image Capture, iPhoto, HomePage et iDisk) et simplement à titre d'exemple (ceci n'est pas une pub pour Wanadoo), voici le mail transmis récemment par Wanadoo sur ce sujet à ses abonnés. Tous les prestataires Internet vont s'y mettre aussi, comme les photographes du type FNAC.
Pour un interface agréable, il est souhaitable alors d'établir un téléphérique (un lien dans chaque sens) entre cet album et le compte rendu en question (si compte rendu il y a). On trouve un exemple d'une telle présentation pour le compte rendu et l' album photos de la vélomarchette 2003.
Naturellement, le club héberge les albums photos de ceux qui n'ont pas de site perso. Cet hébergement est alors assuré sur le l'espace iDisk du club. Le chargement des fichiers correspondants sur cet espace est alors assuré par Claudine ou Jean (Jean-Pierre sait faire aussi) et les liens depuis le site Abeille sont créés par Jean-Pierre.
Problème constant pour les abeilles: transmettre à d'autres abeilles, après les avoir regroupés, des originaux de photos (pesant de l'ordre de 300 à 1500 ko pièce). Des photos, c'est trop lourd pour être transmis par mail (les mails sont en général limités à 5 Mo), alors comment faire ?
Les Abeilles utilisent un "disque Webdav" situé quelque-part sur un nuage, et accessible de n'importe où par internet au moyen d'un protocole évolué et sécurisé permettant de faire apparaitre ce dossier directement sur le bureau de l'ordinateur.
Notre premier exemple a été le regroupement des 3000+ photos du raid VTT 2009 dans l'Atlas Marocain. Chacun a déposé ses photos, puis chacun a pu venir s'y servir à volonté: qui pour réaliser des albums de photos, qui pour illustrer un compte-rendu, qui pour réaliser un diaporama pour la soirée Abeille, etc.
Ce disque distant (un iDisk) a pour nom "abeille_cyclo". On y accède en s'authentifiant avec mot de passe, depuis n'importe quel ordinateur connecté à internet (en utilisant le protocole webdav).
Dans ce disque distant "abeille_cyclo', nous avons mis un dossier Public, sans mot de passe (on y mettra un mot de passe si nécessaire). Ce dossier Public est accessible depuis le bureau (ou explorateur de fichiers sous Windows) de son ordinateur (protocole webdav). Il est aussi accessible, en plus rustique, par un simple navigateur web (protocole http), enfin, on y accède avec certains outils de FTP évolués. Quand on est dans ce dossier Public "abeille_cyclo" (une sorte d'armoire dans laquelle on peut ranger des tiroirs [répertoires] contenant des photos ou d'autres objets de même nature), dans la fenêtre ouverte à l'écran, on trouve deux dossiers nommés respectivement "abeille-cyclo" et "Gringott's". C'est le dossier "abeille-cyclo" qui sert à stocker les photos. On y trouve des répertoires par année, contenant des sous-répertoires par événement. Dans le sous-répertoire au nom de l'événement choisi (par exemple "2007_05_semaine_abeille") on met un répertoire à son nom. Enfin on charge dans ce dernier répertoire perso toutes les photos qu'on veut, ainsi qu'un fichier donnant la liste de ces photos et donnant le libellé qu'on a donné à cette photo. On peut même réaliser une planche de contact comportant vignettes (trois par ligne), nom de fichier, intitulé de la photo (champ "Commentaires") et taille de la photo en px.
Nom des photos ? le mieux est de laisser les noms que l'appareil photos leur a donné pour que ces photos restent rangées alpabétiquement dans leur ordre de prise et que leurs noms soient tous différents. On peut faire précéder ces noms d'un préfixe identifiant de manière unique chacune des série (rouleaux) de photos (ex "2007_semaine_abeille") et identifiant le jour ("j1", "j2"). Ne jamais y mettre de blancs, de majuscules, de caractères accentués ni de caractères spéciaux réservés au système d'exploitation comme "#", "!", "/", "\" "." ou "$". Pas de noms trop longs (pas plus de 20 caractères tout mouillé).
Format, taille, compression des photos ? Si on ne sait pas pourquoi faire autre chose, choisir du jpg, avec les dimensions en pixels données par l'appareil de photos (pas de changement d'échelle) et avec une compression jpg de l'ordre de 70% (dit aussi "bonne qualité"). On tombera spontanément dans des poids de 200 à 600 ko avec une largeur de photo de 2000 px ou plus, ce qui est ce qu'on recherche.
Intitulé de la photo (champ "Commentaires" en ascii-US) ? Donner un intitulé à la photo (si le photographe ne sait pas lui-même ce qu'il y a sur ses photos, qui le saura pour lui ?). On y accède par les logiciels de traitement photo du commerce tels que Graphic Converter ou Adobe Photoshop. Surtout, surtout, ne jamais y mettre de majuscules, de caractères accentués ni de caractères spéciaux réservés au système d'exploitation comme "#", "!", "/", "\" "." ou "$".
Accès au iDisk Public de abeille_cyclo depuis le bureau de son ordinateur (protocole webdav). C'est la méthode recommandée. Cet accès est réalisable sous Windows XP, Vista ou Linux. Il est natif sous Mac OS X. Ces modes d'emploi sont testés par des Abeilles.
Sous Windows XP ou sous Windows Vista (en 10 clics):
Le dossier Public de l'iDisk de abeille_cyclo ("abeille_cyclo-Public") s'ouvrira alors après succès de la connexion comme une fenêtre d'un dossier de Windows. Son comportement et celui des objets qu'elle contient sera souvent analogue à celui des fenêtres des dossiers locaux. Attention toutefois à la lenteur induite par la lenteur de la connexion. Ne pas dézipper, ne pas ouvrir de photos, ne pas modifier de photos, en local. Il vaut toujours mieux rapatrier, modifier, puis recharger sur le dossier Public de l'iDisk de abeille_cyclo.
Comme il est dit plus haut, le comportement de la fenêtre ouverte à l'écran est celui d'une fenêtre ordinaire de Windows, que ce soit sous XP ou sons Vista. La procédure pour crééer un nouveau dossier est celle habituelle (Fichier --> Nouveau --> Dossier --> puis renommer le dossier)
Dans le dossier créé, on peut placer par un simple glisser-déposer (ou copier-coller, qui fera la même chose) les fichiers (sélections multiples possibles) ou les photos que l'on aura préalablement sélectionnées dans un dossier de son disque dur.
Lorsque l'opération est terminée, il ne faut pas oublier de déconnecter le lecteur distant.
Le tour est joué.
Sous Mac OS X (en trois clics), sans se soucier de vérifier le partage de fichiers:
L'icone du serveur distant (un disque dur sous un globe terrestre bleu), du nom de "abeille_cyclo-Public" apparaît alors sur le bureau et la fenêtre dossier Public de l'iDisk de abeille_cyclo ("abeille_cyclo-Public") s'ouvre comme une fenêtre normale du bureau, son comportement et celui des objets qu'elle contient seront en tous points identiques à celui des fenêtres des dossiers locaux. Attention toutefois à la lenteur induite par la lenteur de la connexion. Ne pas dézipper en local, par exemple.
Ne pas hésiter à modifier l'apparence de la fenêtre ouverte (présentation:Afficher les options de présentation) en dimensionnant les icones à leur taille maxi de 128 x 128px, en affichant un aperçu des icones en en mettant un joli fonds jaune comme sur les pages Abeille. Cette fonctionnalité marchera peut-être aussi sous Windows.
Lorsque l'opération est terminée, inutile de déconnecter.
Le tour est joué.
Accéder au iDisk Public de abeille_cyclo par un navigateur web standard (autre que Internet Explorer) (protocole http). C'est la méthode la plus simple à mettre en oeuvre, la seule autorisée au bureau (les administrateurs réseau ont peur de webdav) mais pas la plus efficace car on ne peut y manipuler les photos qu'une par une.
Ne pas utiliser Internet Explorer (pas aux standards du W3C). Firefox (ou Safari), téléchargement gratuit, fonctionnent très bien sous Windows
Adresse ? L'adresse de ce iDisk est :
< http://idisk.mac.com/abeille_cyclo-Public?view=web>
Choisir (en bas à gauche de la fenêtre) la langue: "Français".
Attention: on ne peut pas charger des photos en bloc (sauf à les regrouper dans un répertoire et à zipper ce répertoire pour "l'aplatir" sous forme d'un fichier unique).
Pour charger des groupes de photos ou des dossiers complets, utiliser le protocole webdav (ci-dessus). Incidemment, on a remarqué que le protocole webdav est ausi plus rapide et plus sûr. En cas d'interruption, puis reprise, de communication avec le serveur, il reprend le téléchargement (ou téléversement) là où il en était lors de la perte de réseau.
Par un client FTP. Les bons clients FTP ont été modifiés pour permettre aussi l'utilisation, avec le même outil et les mêmes fonctionnalités qu'on trouve sous FTP, du protocole webdav. Pour ma part, pour les chargements lourds ou les mises en miroir, j'utilise Transmit.
Quelques albums photos réalisés par des artistes, juste pour se faire une idée:
| "Le Cyclotourisme, un art de vivre" |